Jeanine et sa fille VII

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

Jeanine et sa fille VIILe lendemain, je quittais le lycée à 16h, traversant le pont sur le Rhône, j’entendis des coups de klaxons, je me retournais, Jeanine me faisait signe, elle stoppa son Ford transit vitré, qu’elle nommait pompeusement le mini bus. Je t’enlève ! Tu montes ?De la tête, je fis signe que oui.Je montais dans le mini bus, Jeanine était vêtue d’une robe bleue marine avec un col claudine blanc, un collant gris clair à faible denier, escarpins vernis, un collier de perle en sautoir.-“Tu vas où comme ça si belle ?” lui dis-je”-Je sors de la banque, Bernard avait besoin d’un prêt pour son entreprise.”-“J’aimerais bien te voir plus souvent comme ça” lui rétorquais-jeElle sourit et me fit un clin d’œil.”Et encore tu as pas tout vu.” me dit-elle en riant”Au fait, Bernard part bientôt en Hollande acheter des plantes, je mettrais les enfants chez sa sœur, tu peux te libérer pour une nuit ?”- “Oui” lui dis-je heureux de la bonne nouvelle.”Je dirais que je vais dormir chez un copain, Anthony me couvrira.”-“Super !!! J’aimerais que tu me fasses l’amour dans ma robe de mariée !”Je l’a regardais interrogatif.-“Oui, plus de vingt ans que je la garde dans une armoire, j’aimerais la mettre pour notre première nuit ensemble, une sorte de nuit de noce, tu comprends ?”J’étais surpris, qu’elle idée de vouloir se faire prendre dans sa robe de mariée ! je dodelinais de la tête en signe de oui. Les femmes ont comme nous des désirs parfois étranges et des souhaits singuliers.”Je te tiens au courant de la date, elle n’est pas encore fixée.”-“D’accord” lui dis-je”Nine, tu m’emmènes où là ?”-“Dans un petit chemin non loin du club hippique, on sera tranquille mais on a peu de temps Bernard m’attend.Nine tourna à gauche et pris avec le mini bus pris un chemin forestier désert, fit 400m et mit le véhicule sur le coté sous un gros chêne.- “On sera tranquille là” me dit-elle en passant à l’arrière du transit vitré, elle rabattu les sièges, jeta un plaid écossais sur le plancher du mini bus et spontanément se mit à quatre patte, Escort le cul cambré vers moi. Elle était bonne Janine à quatre pattes avec son gros cul de mère de famille.Je bondissais derrière elle, fis tomber mon bénar et mon boxer, me retrouvant le cul à l’air. je remontais sa robe au niveau du milieu du dos en m’apprêtant à descendre tout de suite après son collant. C’est alors que je ne vis pas de collant mais une belle paire de bas de chez Cervin, une belle jarretière grise plus soutenue en indiquait la marque. J’admirais alors non seulement son gros joli cul lisse et bombé dans un joli string en dentelle grise, mais aussi son esprit d’à propos, son raffinement dans les choses érotiques.Elle avait tenue parole et s’était procuré des bas. Cela ne fit qu’affirmer plus encore la vigueur de ma queue. Je pris ma queue et lui passa sous son string et quelques vas et viens, je lui faisais constater ma raideur et mon désir pour elle. J’écartais le string pour la prendre quand, soudain, je fus attiré par son anus rose et serré. Là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’avais jusqu’à lors jamais fait ça, emporté par l’excitation, je mis un coup de langue sur sa rondelle offerte.-“Oh ! Romain.” dit elle dans un soupir de plaisir.Je continuais à lui lécher la rondelle lui donnant des coups de langues circulaires, elle se cambra plus encore pour m’offrir plus profondément son anus.Nine gémissait sous mes coups de langues, la respiration courte, elle m’offrait son cul d’une manière très a****le. Je mis plus à gauche encore son string sur le coté en constatant que le fond était littéralement ruiné et trempé. Elle mouillait comme une folle. Son sexe était très ouvert, chaud et ruisselant de mouille.Je pris ma queue, je la pénétra, ne rentrant en elle que mon gland. Je passais une main sous sa fente pour en récolter la cyprine et tandis que je m’enfonçais plus profondément en elle, je lui caressais et tillais l’anus avec mes doigts trempés de son désir.Je débutais un pilonnage en règle, voir Jeanine qui m’avait Escort Bayan tant fait fantasmer, sur laquelle je m’étais tant branlé, à quatre pattes le cul à l’air en string et bas gris, la tête dans le plaid se laissant pilonner par moi comme une petite chiennasse, augmenta ma fouge. Je l’honorais avec l’ardeur d’un jeune homme de mon age, mes couilles pleines claquant sur son cul. Elle gémissait fort la Nine.j’allais et venait en elle sortant parfois complètement ma queue d’elle pour voir sa mouille blanche et épaisse qui recouvrait ma bite. Ça glissait bien dans sa grosse chatte poilue et je prenais un plaisir rare à la baiser de cette manière Jeanine, en levrette à l’arrache en fin d’aprem dans son mini bus familial.Pendant que je la “bamboulais”, j’enfonçais mon index lubrifié d’elle dans son cul, et se cambra, et je ne tardais pas à sentir une chaleur encore plus forte sur ma queue. Elle avait la chatte en feu, haletait comme une petite chienne en rut. Je pénétrais sa rondelle jusqu’à la deuxième phalange. Sa rondelle s’ouvrit doucement. Je la baisais de grands coups de reins, voulant la transpercer.Je tapais bien au fond de Jeanine, elle entra en résonance avec ma bite. Elle se laissait défoncer, hagarde, tête dans le plaid pour étouffer ses cris de plaisir qu’elle ne pouvait ni refréner ni contrôler.Retirant mon index de son cul, j’enfonçais cette fois-ci mon pouce complètement en elle. Elle tourna follement la tête en tous sens, elle avait définitivement perdu le contrôle Jeanine, elle m’était complètement soumise. Esclave de ma queue qui la ramonait et de mon pouce qui prenait son cul.Soudain, j’entendis un cheval piaffer et hennir en me retournant, je vu un pur sang arabe, gris clair monté par une cavalière. Surpris, mais déterminé à achever le pilonnage de Jeanine, je continuais d’aller et venir en elle. L’équipage arriva à la hauteur des vitres latérales du Transit et là je reconnus Lydie, une fille de ma classe. Elle me sourit les yeux ronds, me fit un signe de tête en guise de salut Bayan Escort et continua tranquillement sa promenade à cheval.J’allais exploser, retirant mon pouce de la rondelle de Nine, je l’agrippais fermement des hanches, en l’honorant de coups de reins, puissants et profonds pour me vider en elle. Je sentis mon jus monter et dans un feulement de tigre, je jouis en elle. Je me vidais complètement en elle dans l’idée de la remplir de mon sperme. Jeanine était ko, une loque tremblante, guenillant des jambes. Je restais immobile en elle, quelques instants, elle reprit ses esprits, me retira de sa chatte et pris en bouche mon sexe qui amorçait sa débandade, lécha mon sexe couvert de sa mouille et de mon sperme. Doucement me lécha, tendrement me suça, fébrilement nous avala.”-J’adore nos goûts mêlés” déclara t’elle”Ton sperme est trop bon mon Romain”C’était la première fois qu’elle disait “mon Romain” j’appréciais l’expression, je lui attribuais la découverte des plaisirs anaux que nous venions de vivre. J’avais adoré la prendre par le cul avec mon pouce et elle se faire tenir ainsi semble t’il.”Tu me fais de ces trucs toi ! j’en reviens pas !” dit-elle avec un air repue de jouissance.Nous reprîmes la route, elle me déposa au premier arrêt de bus, non loin de chez elle. Jeanine se déclara “toute fofolle” dans l’idée de passer une nuit complète avec moi, “dans un lit pour une fois “J’allais fermer la porte du mini bus , quand elle retira son string en dentelle gris perle, le porta à son nez, lécha le fond doublé coton imprégné de sa cyprine et de mon sperme qui avait coulé. me le tendit en disant “Cadeau ! tu te branleras en pensant à moi en attendant notre nuit.”Je le portais à mon nez, en inclinant le buste en signe de Namasté, renifla son odeur, c’est vrai que nos goûts se complétaient bien, il sentait bon son string de nos plaisirs partagés.Je le mis dans une poche, lui fit un clin d’œil complice ainsi qu’un signe de la main. Elle partit retrouver son mari, toute frétillante de mes assauts, la chatte à l’air sa sa robe de bourgeoise, toute poisseuse de mon jus.A suivre”Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite” ;-)La suite de mes aventures dans “le dépucelage de Lydie.”

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32