Maman, Juliette et Moi 01

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Amateur

Chapitre 1

Mon père nous avait abandonnés juste après ma naissance et je vivais depuis toujours avec ma mère et ma sœur aînée Juliette. Comme tous les garçons, passé onze ou douze ans, je ne pensais plus qu’au corps des femmes et je me masturbais plusieurs fois par jour sans jamais réussir à soulager mes désirs.

À dix-huit ans, un dimanche matin que j’étais parti à une compétition de natation, j’appris en arrivant à la piscine que le concours était annulé et je rentrai chez moi avec deux heures d’avance.

Là, je tombai sur Juliette et ma mère en train de changer les draps des lits et, pour l’heure, elles en étaient au mien. Au moment où j’entrai dans ma chambre, maman montrait à ma sœur les larges tâches qu’avaient laissées mes fantasmes nocturnes au milieu de ma parure de lit.

— Juliette se demandait ce qu’étaient ces traces, me questionna ma mère.

Je rougis n’ayant jamais pris conscience que mes séances de branlettes féroces marquaient les draps de telles empreintes.

— Explique-lui, répéta-t-elle. J’en ai marre de laver tes cochonneries toutes les semaines dans tes couettes, tes caleçons, tes pantalons. On dirait que tu ne penses qu’à ça. Il va falloir te vider les couilles plus proprement!

Ma mère n’avait jamais parlé comme ça! Je voyais dans les yeux de ma sœur que la situation l’amusait beaucoup et que ma gêne la faisait jubiler. Juliette avait un an de plus que moi et était une vraie femme qui avait tout ce qu’il faut pour chambouler les sens des garçons. Elle avait l’habitude de porter des jupes légères et courtes et des chemisiers très près du corps. Il m’était même arrivé de regarder ses cuisses découvertes un peu haut quand sa jupette virevoltait de-ci de-là.

Pour l’heure, je bredouillai comme je pus qu’il m’arrivait de me masturber et promis que je ne le ferai plus.

— Comme si nous allions te croire, reprit ma mère. Je vais devoir prendre des mesures, tu sais!

– Qu’est-ce que ça veut dire masturber? demanda ma sœur avec l’air de la parfaite idiote qu’elle n’était pas.

Je rougis trois fois plus et ne sus vraiment plus où me mettre quand maman m’ordonna de montrer à Juliette le genre de cochonnerie que je faisais sous mes draps. Je restai interloqué, aussi paralysé qu’un lapin dans les phares d’une voiture. Allez, vas-y, reprit ma mère, baisse ton pantalon, montre-nous comment les garçons se masturbent. Maman avait les bras croisés sous la poitrine qu’elle avait très grosse. Elle s’habillait toujours très chic à la maison, portant en général des tailleurs stricts et des chemisiers de soie ivoire ou blanche. Je lui trouvai une allure folle.

J’obtempérai doucement à sa demande. La situation me troublait horriblement, mais je sentais mon sexe grossir rien qu’à l’idée de me mettre nu devant maman et Juliette. J’ôtai lentement mon jogging et mon caleçon. J’aurais tant voulu être sage, mais je bandais déjà et ma queue raide ne pouvait échapper aux regards de Juliette et de ma mère. Ma sœur rit, ma mère souligna qu’en vrai pervers la situation m’excitait.

— Montrer sa bite à ta maman et à ta grande sœur te fait cet effet-là! Il faudra t’exhiber plus souvent! Tu en es fier, je suis sûr! Vas-y maintenant, branle-toi.

Je n’osai pas les regarder, mais je saisis mon sexe dans ma main droite et commençai des allées et venues lentes. Rapidement, je me décalottai complètement et je ressentis un certain orgueil à l’idée de leur montrer mon gland rouge et épais comme une grosse prune. Sans bien savoir pourquoi, bursa escort j’avais le sentiment — comme sans doute ont tous les garçons — que j’étais bien monté. Du coin de l’œil, je vis que Juliette fixait mon sexe. Elle avait la bouche entrouverte et ne perdait pas une goutte du spectacle. Maman s’approcha de moi et soupesa sans douceur mes bourses pleines.

— C’est là qu’il cache tout ce sperme dont il englue ses draps, précisa-t-elle. Elles ont l’air encore bien remplies tes couilles mon cochon.

La main de maman sur mes bourses avait propulsé mon excitation à un niveau stratosphérique et je ne tardai pas à perdre toute retenue. Mes mouvements devinrent plus rapides et je serrai ma bite avec force tout en m’appuyant sur maman.

— Regarde, Juliette, regarde, il va cracher tout son jus dégoûtant!

Maman avait bien deviné et j’éjaculai à longs traits épais en direction de ma sœur. Je n’avais jamais joui aussi fort et remerciai un peu bêtement.

— C’est la vie, répondit ma mère. Tu as vu, Juliette, c’est impressionnant, non?

Maman n’avait pas lâché mes couilles et elle les pétrissait sans délicatesse comme pour me féliciter d’avoir bien juté. La situation m’avait mis dans un tel état que je bandais toujours. Juliette s’approcha hypnotisée par ma queue et passa doucement sa main dessus.

— C’est bien, ma fille. Il faut apprendre à ton âge. Tu peux le vider si tu veux. Je sens qu’il en a encore là-dedans, ajouta-t-elle en me palpant les bourses à m’en faire mal.

Juliette se mit à genoux — pour mieux voir, précisa-t-elle — et prit ma queue dans sa main sans la serrer. Elle la caressait sans branler vraiment. Je la regardais d’en haut et trouvai la situation incroyable. Je m’appuyai plus fort contre ma mère jusqu’à sentir contre moi la rondeur de son sein droit.

— C’est si doux, murmura ma sœur.

— Serre-la un peu plus fort et décalotte-la. C’est comme ça que les garçons aiment être branlés. Il va mettre un peu de temps à juter cette fois-ci.

Juliette s’appliqua comme si elle découvrait une nouvelle matière au lycée et je ne tardais pas à revoir mon gland orgueilleux sortir de mon prépuce. Je la surpris à passer sa main gauche sous sa jupe, mais, bien sûr, maman fit comme si elle ne se rendait compte de rien. J’étais certain que ma sœur se branlait au moins autant que moi. Mais je supposai que cela laissait moins de traces. Je bandais comme jamais. Juliette variait ses mouvements, serrait, relâchait, accélérait ou ralentissait ses vas-et-viens, comme si elle avait mis la main sur un nouveau jouet. Ma queue l’amusait beaucoup, tandis que ma mère continuait à me palper les couilles en observant le travail de sa fille. J’osai enfin poser comme fortuitement ma main sur le sein de maman contre lequel je m’appuyais. Elle ne dit rien et je caressai sa poitrine jusqu’à sentir ses mamelons pointer sous son chemisier. Il faut avouer qu’elle était vraiment bien pourvue et que j’avais souvent imaginé ses gros nichons tout en me branlant la nuit. Je n’avais jamais vu de seins pour de vrai et leur poids et leur élasticité me fascinaient.

— Regarde, Juliette, ton coquin de frère qui retombe en enfance. Peloter sa mère, en voilà une drôle d’idée!

Juliette lâcha ma queue tendue et se releva pour poser elle aussi ses mains sur les tétons de maman.

— Ils sont énormes, dit-elle. Les miens sont moins gros.

— Vous voulez téter comme quand vous étiez bébé? nous demanda maman.

Nous n’osâmes pas répondre, mais maman bursa escort bayan comprit notre désir. Elle défit les boutons de son chemisier, passa ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge de dentelle blanche. Ses deux gros seins retombèrent sous leur masse. Comment pouvait-elle marcher avec ses deux énormes nénés? J’en pris un à pleines mains, ma sœur fit de même avec l’autre. Nous riions tous les deux tant la situation était à la fois excitante et gênante. Ma mère avait les tétines très longues et dures comme la première phalange de mon petit doigt. La peau de sa poitrine était douce et sentait bon. Les grosses mamelles étaient toutes blanches, veinées de mauve.

— Allez-y délicatement, mes chéris, je n’ai pas de lait à vous offrir, mais vous pouvez téter si vous voulez. Ça me fera plaisir.

Juliette et moi nous nous regardâmes complices, nous prîmes chacun un trayon en bouche et nous mîmes à sucer comme si nous n’avions jamais oublié ce geste de notre tendre enfance.

— C’est bien, vous me donnez du plaisir, dit ma mère. Vous pouvez les lécher puis les sucer encore et même les mordiller.

Nous obéissions à tout ce qu’elle nous disait. J’entendais sa respiration s’accélérer. Elle poussait même de petits gémissements que j’interprétai comme un signe d’excitation sexuelle. J’écrasais ma queue toujours raide et dure contre sa cuisse pour me rappeler inconsciemment à son bon souvenir. Elle ne se fit pas prier et me prit le membre pour continuer ce que ma sœur avait commencé. Juliette de son côté avait les yeux clos et semblait partie dans un autre monde. Elle s’oubliait à téter maman tout en se branlant sous sa jupe.

Ma mère me serrait la bite très fort. J’avais le sentiment qu’elle avait un peu perdu le contrôle de ce qu’elle faisait tant elle prenait du plaisir à nos suçons. Je lâchai le téton un instant pour dire que j’allais venir. Maman se concentra sur ma queue et me fit juter à nouveau dans sa main. Mon sperme moins copieux que la première fois était épais et opaque. Elle approcha sa paume de ma bouche et m’ordonna de lécher mes cochonneries.

— Cela t’apprendra à en mettre partout, précisa-t-elle.

Juliette prit son air dégoûté pour souligner que c’était bien fait. Maman lui expliqua doctement qu’il faudrait qu’elle aussi s’entraîne à aimer le jus des hommes et que l’on s’y mettrait dans la semaine. Cette annonce m’excita tant que je léchai la main de ma mère et avalai mon foutre tiède et épais sans plus faire d’histoire.

Le reste de la journée se passa comme un dimanche. J’eus beaucoup de mal à attaquer mes devoirs. La vision des seins nus de maman n’arrêtait pas de s’imposer à mon esprit. Je me mis aussi à rêver du corps de ma sœur. J’aurais tant voulu la voir à poil et je me demandais bien ce que maman avait en tête. A l’inverse, j’avais un peu d’appréhension à l’imaginer, elle, devant moi, car son corps de femme mûre m’impressionnait.

Le dîner se déroula tout à fait normalement. L’ambiance était inhabituelle. Juliette et moi regardions maman en nous demandant s’il allait arriver quelque chose. Mais nous mangeâmes sans histoire, sauf que je fus de couvert et de vaisselle, car la punition n’était pas terminée, précisa-t-elle. Juliette en profita pour passer derrière moi pendant que j’étais penché sur l’évier et m’asséner une belle claque sur les fesses comme si de rien n’était. Je poussai un cri de surprise, mais ne dis rien. Je n’avais pas eu mal et le bruit de sa main sur mon cul m’avait donné comme escort bursa une envie de ce jeu-là.

Après ma vaisselle, maman m’envoya à la salle de bain me précisant qu’elle allait venir me laver comme quand j’étais petit. Elle demanda à Juliette de la suivre, car là encore, elle devait apprendre à s’occuper d’un homme. Je protestai pour la forme, mais l’idée au fond ne me déplaisait pas, même si j’avais du mal à accepter ma propre docilité.

À la salle de bains, maman me demanda de me mettre nu. Elle resta habillée tout comme Juliette et je me sentis à la fois excité et humilié de me montrer ainsi devant elle. Je bandais mollement tant la séance du matin m’avait fatigué. Je dus me tenir debout dans la baignoire. Maman régla l’eau à la bonne température puis m’aspergea copieusement des pieds à la tête en insistant bien sur mes parties sexuelles. Je dus me retourner et écarter moi même mes fesses à deux mains pour qu’elle puisse m’inonder l’anus. J’étais rouge de honte et Juliette ne se priva pas de souligner que j’étais vraiment un gros dégoûtant de me montrer ainsi.

— Ne te plains pas, remarqua maman, aujourd’hui, au moins, il n’est pas sale. Quand je vois ce qu’il laisse parfois dans son caleçon, je me demande s’il ne le fait pas exprès.

Cette fois, je tournai pivoine et la priai de m’excuser.

— Nous en reparlerons, conclut-elle.

Je n’eus pas le temps d’imaginer ce qu’elle sous-entendait, car elle ordonna alors à Juliette de me laver le devant tandis qu’elle s’occuperait de mes fesses. Ma sœur sembla bien s’amuser à s’enduire les mains de savon et à me frictionner la queue et les couilles en soulevant ce qui devait l’être sur l’injonction de maman.

— Tu dois le rendre tout propre, précisa-t-elle. Ses poils doivent te gêner. Nous nous en débarrasserons.

Juliette s’appliquait et je ne tardai pas à bander à nouveau. Elle demanda à ma mère s’il fallait encore me vider, mais celle-ci expliqua qu’avec les cours le lendemain, il valait mieux me laisser me reposer. Je faillis protester tant ma nouvelle excitation allait m’empêcher de dormir, mais je dus me taire, car maman venait de m’ordonner de me tourner et de me pencher en avant en écartant bien les fesses avec les mains pour montrer mon petit trou.

— Regarde, ma fille, commença-t-elle, là aussi, il est plein de poils. Comment veux-tu que je lave tout ça?

Elle s’enduisit pourtant les mains de mousse et me frotta très fort les fesses et la raie culière. Je sentis son index appuyer contre mon petit trou et elle s’enfonça d’un coup. Je criai et essayai de me redresser, mais je reçus une bonne claque sur les fesses.

— Ne bouge pas, m’ordonna-t-elle, c’est par là que tu es sale comme pas permis. Moi, je pense d’abord à ton hygiène et ensuite à mes draps. Son index était complètement enfoncé. Elle fit des vas et-vient et le tourna dans un sens et dans l’autre. J’avoue que j’y pris du plaisir et qu’un soupir m’échappa.

— Écoute ton frère, il aime ça, le petit salopard!

Elle ressortit le doigt dans un bruit de succion, me donna une serviette et m’ordonna d’aller au lit.

— C’est au tour de ta sœur à présent! Je vais inspecter un peu tout ça.

Juliette resta bouche bée et protesta mollement. Mais maman ne voulut rien savoir. En revanche, je fus jeté hors de la salle de bains dont elle verrouilla la porte. Je gagnai ma chambre dans un terrible état d’excitation. Je revins silencieusement coller mon oreille au vantail, mais je n’entendais pas grand-chose. Tout juste une fermeture éclair, des bruits d’eau, de savon et quelques gémissements de plaisir ou de douleur. C’était difficile à savoir. En tout cas, je mis des heures à m’endormir et mon sommeil fut troublé de rêves érotiques comme je n’avais encore jamais connu.

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