Hobie 2 La jolie procureur esclave
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Hobie 2 – La jolie procureur esclave de ses sens
Pretty Pimped Prosecutor
Coulybaca / Black Demon
Cette histoire peut se lire seule
mais c’est aussi la suite de Hobie Ch 1 la revanche de l’innocent injus-tement condamné (Con’s revenge II)
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Sharon ne parvenait pas à se concentrer sur l’affaire jugée, elle laissa véritablement passer l’opportunité de faire condamner le malfaiteur à de nombreuses années d’emprisonnement.
La paire de yeux sournois qu’elle sentait dans son dos l’affolait tant qu’elle balbutia pendant le contre interrogatoire.
Elle était si affolée qu’elle prétexta une forte migraine pour se faire rem-placer pour la fin de la séance.
L’inexpérience de son collègue et son irréflexion amena le jury à dis-culper le prévenu en dépit des preuves accumulées contre lui
Assis dans le public, se marrant à la vue de la représentante du ministère publique secouée par sa présence, Hobie lui adressa un large sourire lorsqu’elle leva les yeux sur lui.
Il savait que sa présence la faisait trembler, qu’elle se rappelait forcé-ment les circonstances de leur dernière rencontre.
Etant le seul, avec elle à en connaître les tenants, il se caressait effron-tément se réjouissant de la voir écarquiller des yeux terrifiés.
– “Hey oui l’adorable madame Sharon Hicks perd tous ses moyens en ma présence …” se réjouit Hobie.
Se tortillant sur son siège, Sharon revoyait des images de cet effroyable cauchemar qu’elle avait enduré quelques mois plus tôt.
Ce démoniaque ex-détenu avait tiré une effroyable vengeance de sa condamnation quelques années plus tôt.
Sharon ne l’avait pas reconnu la première fois qu’il avait pris place dans le public après sa libération, puis elle s’était étonnée de le voir suivre une session entière, ignorant qu’en fait il prenait bonne note de son train-train quotidien.
Son corps tout entier était traversé de frissons de peur, elle frémissait se rappelant l’épisode de sa dernière visite à la prison.
Sharon savait depuis ce jour que l’ex-détenu la considérait comme un belle pièce de viande qu’il comptait utiliser selon sa volonté.
C’est sur sa chair qu’avait portée sa vengeance, elle avait été violée par des dizaines de détenus qui l’avaient partouzées dans une salle de ré-union.
Des images de cet ignoble gang bang la hantaient encore maintenant, elle revoyait souvent avec quelle sauvagerie elle avait été violée dans cette prison.
Elle avait déjà lu des compte rendus de viol et entendus des victimes ra-conter leur révoltante épreuve, jusqu’à ce jour fatal où elle avait été elle même la victime d’un ignoble viol en collectivité
Ca avait été d’autant plus pénible que non seulement elle avait du satisfaire la lubricité de solitaires qui se succédaient en elle mais qu’elle dut en satisfaire plusieurs à la fois..
Un mois plus tard, alors qu’elle commençait à récupérer de cette ignoble épreuve, l’homme dans son dos avait frappé à sa porte alors que son mari venait de partir à la pêche.
Sous la menace de voir de le voir mettre en circulation des photos d’elle violée par une foule de noirs, Sharon l’avait laissé rentrer à contrecoeur chez elle l’admettant dans l’intimité de sa chambre qu’elle ne partageait qu’avec son tendre époux.
Ca avait été une épreuve cauchemardesque que Sharon s’était imposée de subir croyant ainsi apaiser les ressentiments de Hobie.
Elle s’était tout d’abord dévêtue lentement eu centre de sa chambre, tout au long de cette première épreuve, elle avait sangloté de honte, puis elle avait du s’étendre sur le lit qu’elle partageait habituellement avec son tendre époux, puis elle s’était masturbée selon les ordres de son maître chanteur.
Sharon revivait un à un les horribles détails de cette journée infâme, allongée totalement nue dans le lit conjugal, l’ex-détenu lui avait fait su-bir de multiples avanies.
Elle avait tout d’abord du s’exciter elle même, se caressant les tétons jusqu’à les faire darder, puis elle s’était manipulée le clitoris jusqu’au moment où un flot de secrétions poissa sa chatte.
Sharon ne se figurait pas encore à quel point sa vie était changée depuis ce sinistre jour à la prison.
Et maintenant, à l’âge de 27 ans elle était à l’entière merci d’un pervers qui adorait la voir se tortiller de peur devant lui.
Elle avait été si gênée de devoir écarter les cuisses l’humiliant encore en l’obligeant a lui demander dire qu’elle voulait qu’il fasse avec elle, com-ment il devait l’utiliser.
Elle s’était doigtée cuisses grandes écartées, elle avait du lui complaire en balbutiant :
– “Je vous en prie … S’il vous plait …… Mettez votre grosse queue noire dans ma petite chatte ….. Videz vous les couilles dans ma foufoune … Baisez moi comme une pute! …..
Elle se rappelait alors comment il lui avait agrippé les chevilles, relevant haut ses jambes, orteils pointés vers le plafond, alors qu’il grimpait dans le lit la pénétrant brutalement Kızılay travesti sans aucun préliminaire.
Lorsque son l’épreuve s’acheva ce jour là, Sharon ne put que sangloter mesurant son malheur.
Même si elle se disait qu’elle n’avait d’autre choix possible que de complaire à son maître chanteur, elle se sentait si coupable d’avoir répondu à ses assauts luxurieux.
– “Pourquoi? …. Pourquoi est ce que je me plie si facilement à ses ordres? ….. Pourquoi est ce que je jouis comme jamais auparavant? …. Et en plus c’est moi qui l’ait supplié de se vider les couilles dans ma foufoune! ……” sanglotait-elle accablée.
Les choses empirèrent encore lorsqu’elle découvrit qu’elle avait été en-grossée lors de la partouze à la prison.
Elle avait été violée par des détenus qu’elle avait grand plaisir à faire en-fermer derrière les grilles.
Ils lui avaient rendu la monnaie de sa pièce, sans une once de miséricorde ils l’avaient violée sauvagement dans tous ses trous, déterminés à humilier cette femme responsable de leur incarcération.
La savoir enceinte à l’issue de son ignoble viol était la cerise sur le gâ-teau.
A l’encontre de sa religion et de ses convictions intimes, elle changea d’opinion à 180 degrés.
Elle ne pouvait pas accoucher d’un bébé conçu de cette manière alors qu’il était le fruit d’un viol perpétré dans la haine et le stupre.
De plus, qu’aurait dit son mari si elle avait donné naissance à un bébé qui ne serait pas le sien ce qui serait évident avec les antécédents noirs de ses géniteurs.
Son mari absent pour un voyage d’affaires programmé à l’avance, Sharon en avait profité un paire de journées de maladie avant le week-end, cela devait lui permettre de se faire avorter en clinique tout en se ménageant le temps adéquat pour une récupération optimum.
Elle se sentait si coupable de programmer cet avortement, sachant que cela allait totalement à l’encontre de ses convictions religieuses, et qu’elle n’avait parlé à son époux ni de son viol, ni de sa grossesse.
La procédure s’était tenue dans une clinique privée et Sharon récupéra extrêmement vite du moins physiquement sinon moralement.
Elle ne parvenait pas à dépasser ce sentiment de culpabilité de s’être fait violer et d’avoir vu sa vie ravagée par une bande de détenus noirs, qui l’avaient engrossé ce qui l’avait ensuite obligée à avorter pour cacher à son mari l’horrible vérité.
Et, quand elle pensait au dernier épisode avec l’ex-détenu dans sa chambre, elle frissonnait en serrant les cuisses l’une contre l’autre.
– “Que ferai-je si … Que ferai je la prochaine fois qu’il me contactera? …” se demandait-elle anxieusement.
Elle savait qu’elle ne pouvait que lui obéir lorsque le pervers maître chanteur exigerait de nouvelles choses d’elle.
Ses yeux se remplirent de larmes, elle devait serrer les cuisses pour en-diguer le flot de cyprine secrétait soudainement par ses glandes excitées par ses pensées lubriques.
Respirant avec difficulté, tétons dardés, une nouvelle Sharon dérapait, empruntant le chemin du plaisir sexuel. Ce n’était plus un sentiment de peur, mais bel et bien une excitation anticipée.
En emmenant du travail à son domicile ce samedi, elle se réjouissait d’attendre un coup de fil de David, sa voix avait le pouvoir de la réconfor-ter.
Il l’appela tôt l’informant qu’il avait un repas d’affaire ce soir et qu’il ren-trerait certainement très tard.
Alors qu’elle reposait le téléphone, Sharon souhaitait que son mari pose-rait bientôt ses bras autour de son cou, la serrant dans ses bras, cela la réconforterait sûrement.
Se mordant les lèvres, Sharon pénétra dans sa chambre, respirant difficilement, elle se posta à l’endroit exact où elle avait du se dévêtir obéissant aux ordres de son vicieux maître chanteur.
Puis faisant comme si l’ex-détenu était avec elle dans la chambre, elle se dirigea tremblante vers le lit comme elle l’avait fait ce jour fatal.
Elle rejouait les épisodes de ce jour funeste, elle commença par agacer ses tétons les faisant raidir, les jambes grandes ouvertes en V, orteils pointés vers le plafond, elle se doigta comme le lui avait ordonné son maître chanteur ce jour là, manipulant son clito jusqu’au moment où elle frémit de plaisir.
Puis, se mordant les lèvres Sharon se redressa et tendit laz main pour retrouver l’objet qu’elle avait sorti du réfrigérateur et amené jusqu’à son lit.
– “Ohhhhhh …….. Ahhhhhhh!….” gémissait-elle s’insérant un énorme concombre de plus en plus profondément dans la foufoune.
C’est alors que son corps fut submergé par un orgasme dévastateur, ses muscles se tétanisèrent sur le postiche remplaçant le sexe masculin.
– “Mon Dieu ….. Qu’est ce qui m’arrive? …..Je dois être complète-ment folle! …… Pourquoi ne puis je plus penser à autre chose qu’au sexe? …….” se fustigeait-elle.
Depuis qu’elle avait été partouzée à la prison, il semblait que son esprit déraillait. Elle n’avait Kızılay travestileri jamais pensé tirer du plaisir de tels rapports, et encore moins en se faisant violer sauvagement par des détenus vicieux.
Cependant elle ne pouvait oublier ces nombreux minis orgasmes que son traître de corps s’était octroyé lors de cette journée.
Son esprit la ramenait à ce jour fatal, elle se rappelait comment les quatre noirs l’avaient suspendues en l’air le corps parallèle au plancher, elle avala sa salive se souvenant comment ils l’utilisèrent comme un bé-lier, les hommes qui la portaient la propulsant d’avant en arrière sur les bites des troisièmes et quatrièmes agresseurs.
Elle ouvrait la bouche lorsqu’elle avait le visage en face de l’énorme bite avalant le gigantesque gourdin, puis ramenée vers l’arrière elle enfournait la bite de son chevaucheur de croupe dans sa chatte ou son trou du cul au hasard des allées et venues.
Une fois qu’ils se furent vidés les couilles dans sa bouche et sa foufoune, deux autres queues les remplacèrent, son agresseur de croupe préférait nettement s’enfiler dans son rectum, elle en grimaçait de douleur rétros-pective.
Elle n’aurait jamais cru ressentir du plaisir à se faire violer de façon aussi ignoble, pourtant elle eut plusieurs orgasmes, son corps la trahissait à chaque nouvelle ignominie.
– “Deviendrai-je nympho? …. se demanda-t-elle amèrement.
Puis elle revint au moment où l’ex-détenu était venu lui faire une petite visite.
Après avoir pris son plaisir, en se rhabillant, elle le regardait rire en jetant une carte professionnelle sur le lit, ricanant :
– “Sais-tu que t’es chaude comme l’enfer ma petite salope! …. Une vraie nympho si tu vois ce que veux dire …… Plus on t’humilie plus tu as de plaisir, n’est ce pas salope …. Eh oui ma salope tu adores le sexe vulgaire …… Appelle moi quand tu auras besoin de te faire baiser par des bâtards noirs … Appelle moi et je me débrouillerai pour satisfaire tes appétits lubriques …… Pense à moi qui vais vendre ton cul comme si c’était celui de la plus salope des putes qui font le trottoir!
Sharon frissonnait, son corps était parcouru de frémissements spasmo-diques rien qu’à l’idée qu’un maquereau puisse vendre son corps à des clients pervers.
– “Oh mon Dieu ….. J’ai vraiment besoin de tirer un coup! ….. Je ne suis rien d’autre qu’une sacrée petite salope comme il dit …. Mon Dieu ….. Je voudrai vendre mon corps rien que pour en tirer un plaisir pervers ……Je me remettrai à quatre pattes, je ramperai sur les genoux et le mains pour goûter à leurs grosses bites noires.” haletait-elle.
Sharon avait jeté la carte dans la poubelle le plus proche, se disant :
– “Ce salaud à le culot de penser que je l’appellerai! …..Ce n’est qu’à cause de son chantage que je lui obéis ….”
Elle ne savait pas ce qui l’avait poussée à récupérer la carte le lende-main pour la ranger dans sa commode sous la pile de culottes.
Elle alla jusqu’à sa commode, ouvrit le tiroir et reprit la carte profession-nelle de son maître chanteur, elle sentit son coeur s’emballer dans sa poitrine.
Puis elle la reposa vivement sous sa pile de culottes et referma le tiroir se détournant de la commode.
– “Oh mon Dieu, Comment puis-je seulement penser à faire une chose aussi vulgaire! ….. ” réfléchissait-elle.
Vingt minutes plus tard, la carte de nouveau en main, Sharon faisait le numéro figurant dur la carte.
Mais, en entendant la sonnerie, elle se mit à haleter de honte elle reposa le téléphone sur son support.
Tremblante de honte elle cherchait désespérément à reprendre son souffle alors que son coeur battait la chamade.
Ce qu’elle ne réalisa pas, c’est que son appel était enregistré sur le répondeur de Hobie qui relevait le numéro et l’identité de chaque ap-pelant.
De l’autre coté de la ville, Hobie allait prendre l’appel lorsque la sonnerie se tut. En voyant le nom et le numéro de l’appelant s’afficher, Hobie sou-rit et pouffa de rire.
– “Bien, bien …. La ravissante Sharon Hicks ….. Je me demandais quand tu appellerais ….. Ton mari ne parvient plus à satisfaire ta lubricité! ….. T’as besoin de te faire défoncer sévèrement par n’im-porte qui, chérie? …… T’as besoin d’un bon coup de queue de voyou …… ” pouffa-t-il à nouveau.
Une demi heure plus tard, la sonnerie de son portable sonna à nouveau, il se marra envoyant que c’était encore elle qui appelait.
– “Hey ben ma chérie ….. T’as vraiment besoin de te faire défoncer par une canaille … Tu veux être dégradée par la lie de la société! ….. Tirer un coup vraiment ignoble …. Ha, ha, ha ‘ rigola-t-il gogue-nard.
Réfléchissant quelques secondes, Hobie se rappela deux vieillards à qui il devait une faveur pour l’avoir prévenu lorsque les flics s’intéressaient de trop près à ses activités.
Grace à eux il avait pu se tirer d’affaire et repartir dans une autre voie.
Dans les 24 heures qui suivirent, Travesti kızılay Hobie reçut trois autres appels de la sexy madame Hicks
Il avait déjà prévenu les deux vieux schnocks, Toolman et Wacko qu’il allait leur faire un cadeau pour les remercier. Il leur demanda :
– “Ne lui faite pas trop de mal ….. Faites là vous à la voyou ….. Dégradez là un peu, beaucoup ….. Elle aime ça ….. Giclez sur son visage …. Et même pissez lui dessus ……”
– Ils rirent de bon coeur et Hobie leur demanda où ils créchaient la nuit, ils lui répondirent qu’ils campaient juste sous la passerelle.
Cherchant à résister à la tentation de donner un nouveau coup de fil, Sharon se dit qu’elle devrait mieux se contrôler, qu’elle devait ignorer cette intense brûlure entre ses cuisses.
Après avoir avalé une large rasade de vodka martini, elle trouva la force de se débarrasser de la tentante carte professionnelle, elle la jeta dans les toilettes.
Comme elle se préparait un nouveau verre le téléphone sonna et elle tendit la main pour répondre.
Le combiné sur l’oreille, elle haleta au son de la voix familière lui disant :
– “Je vois que tu as essayé de me contacter à plusieurs reprises chérie … Tu veux te faire un petit extra crapuleux ma chérie?…….
– “How, how ….Comment …” balbutia-t-elle péniblement.
– “J’ai relevé ton numéro et ton nom sur mon répondeur chérie! ……”
Ses épaules s’affaissèrent sous le poids de sa défaite lorsqu’elle réalisa qu’en fait Hobie était au courant de ses appels et qu’il l’avait volontaire-ment laissé mijoter…. De plus il connaissait parfaitement la raison de ses appels! …….
– “Demain soir 9 heures pétante, tu te ranges au bout de l’avenue de la plage, tu descends sous la passerelle et là tu demandes Toolman et Wacko … Ils prendront soin de ton cul ……Je leur ai dit qu’ils pourraient te faire ce qu’ils voudraient …Et même te pisser dessus! …..” l’informa-t-il.
– “Mais …… Mais …..” balbutia-t-elle ne postillonnant, mais il avait déjà raccroché et elle n’entendait plus que la tonalité.
– “La nuit de lendemain?….. Oh, mon Dieu ….. On est invité à dîner chez la soeur de David …” réalisa-t-elle soudainement.
– “Je n’irai pas …… Je ne dois pas succomber à cette tentation dé-gradante …. Si j’ai un peu de respect pour moi-même …… Un peu de volonté …… ” se disait-elle cherchant à se convaincre.
Pantelant elle se rappelait les mots de Hobie :
– “Je leur ai dit que t’aimerais te faire pisser dessus salope …”
L’idée de se laisser dégrader de façon aussi humiliante l’horrifiait.
Pourtant elle ne pouvait empêcher les muscles de sa chatte de se crisper spasmodiquement, alors que des frissons de désirs malsains lui parcouraient le corps.
Le lendemain soir, assise à la table de sa belle soeur, Sharon se tré-moussait sur son siège. Elle ne quittait pas des yeux l’horloge murale du salon.
Elle s’était dit à elle même :
– “NON ” mais elle ne pouvait desserrer les cuisses, ce qui endiguait le flot de cyprine lui inondant la chatte.
Elle se répétait :
– “Cesse de regarder l’horloge, tu n’as aucun moyen de te défiler pour aller te comporter en une bonne petite pute …”
Cependant elle continuait à fixer les aiguilles évaluant les chances qu’elle avait de se dérober.
Une demie heure plus tard, Sharon avait trouvé une bonne excuse pour quitter momentanément la salle à manger, respirant difficilement, le coeur battant la chamade, elle essayait de reprendre son contrôle d’elle-même.
Elle se répétait inlassablement :
– “Non … Non ….. Tu ne peux pas faire ça! ….. Ce serait trop indigne!……”
Mais Sharon ouvrit son sac et prit son portable en main.
Elle commença à composer le numéro, et s’arrêta une fois encore se di-sant :
– “Tu ne vas tout de même pas participer à ta dégradation! ……”
Ouvrant la porte de la salle de bain, elle se dirigea vers la salle à man-ger.
Comme elle s’approchait de la table, elle pressa le bouton d’appel de son portable dans son sac.
Comme elle s’asseyait à sa place, le bippeur de son téléphone se vibra de façon insistante.
Elle le prit, jeta un oeil sur l’écran vide et annonça :
– “Oh … Il y doit y avoir une urgence au bureau …… Excusez moi le temps que les appelle! …..”
Quittant de la salle à manger, Sharon se réfugia au fin fond du vestibule.
Elle prit son téléphone et arrêta le faux appel qu’elle avait enclenché, puis elle parla à voix haute dans le combiné désactivé, elle voulait que les autres convives entendent sa prétendue conversation.
– “Oh Non … Oh mon Dieu ….. Maintenant? ….. Mais on est samedi soir et je suis en famille!……On doit impérativement l’interroger ce soir? …. On ne peut pas le reporter à demain?……. Mais j’en ai au moins pour trois heures de route rien que pour y aller!…… D’accord, d’accord ….. Je vous quitte, je vais voir ce que je peux faire ….. Retenez moi une chambre d’hôtel, et préparez l’interroga-toire! ….. ” intima-t-elle de façon à être entendue de tous.
Revenant dans la salle à manger elle leur jeta un regard découragé, et les avisa :
– “Je suis désolée, mais je vais devoir vous quitter, un problème ur-gent …..”
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