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Il est 21h précise. Au coup de sonnette, j’ai un tressaillement. Un coup d’oeil au Visio me montre le visage souriant de Patrick. J’appuie lentement sur le bouton d’ouverture de la porte cochère : sixième étage, dis-je d’une voix un peu rauque. Puis je me dirige vers la porte pour guetter l’arrivée de mon invité. Quelques instants plus tard, l’ascenseur stoppe au palier. Patrick en sort et avance vers la porte que j’ai entrouverte. C’est un bel homme, petit, mais bel homme. Les cheveux rasés, de petites lunettes cerclées, un nez assez fort, un cou de taureau et des épaules larges sur un torse puissant. Avec cela un peu enveloppé. Il est en tenue de jogging, survét et sweet UCLA.

– Entrez, lui dis-je en chuchotant

Patrick très à l’aise et toujours souriant se glisse silencieusement dans l’appartement en observant les lieux avec une curiosité non dissimulée.

– Je vous débarrasse de votre veste, venez dans le salon. Nous sommes seuls, enfin pas tout-à-fait.. Bérengère dort, j’ajoute bêtement

– J’espère bien, répond Patrick en me tendant sa veste, ses yeux pétillants de plaisir anticipé

– Voulez-vous boire quelque chose? Une eau pétillante fraîche?

– Après peut-être, mais maintenant, je veux voir votre salope.

En l’entendant s’exprimer ainsi dans ma maison, j’ai un sentiment de honte et d’excitation mêlées. Sans mot dire, je lui fais un geste de la main et l’entraîne à ma suite vers la chambre à coucher. La porte est semi-ouverte. La pièce, assez grande, est dans la pénombre. Les volets de la porte-fenêtre sont fermés. Sur la gauche, il y a un grand lit. Bérengère y est étendue, sur le ventre, un drap léger la recouvre à moitié : de toute évidence, elle est à poil et plongée dans un sommeil profond. J’allume une lampe de chevet puis un spot que j’oriente de telle sorte qu’il braque son faisceau sur le derrière de ma femme.

– Humm, chuchote Patrick derrière moi, la voir en vrai, j’en rêvais. Vous garantissez qu’elle ne peut se réveiller?

– Oui, enfin, elle peut très légèrement, mais elle ne se rendra pas vraiment compte

– Je pense, dit Patrick, que monsieur ukraynalı gaziantep escort a donné à sa petite femme un médicament un peu spécial.. Petit salaud, dit-il doucement..

Je rougis et reste silencieux

– Bon, enlevez moi ça, m’intime-t-il mezzo voce en désignant le drap

Je fait glisser le drap et le corps dénudé de Bérengère est exposée au regard vicieux de Patrick.

– Quel cul elle a cette pute dit-il en sifflant entre ces dents

Il a les yeux pleins de convoitise et s’approche du lit pour la regarder de plus près.

– Ecartez un peu ses cuisses que je vois son anus et le haut de sa chatte.

Je m’approche de Bérengère et écarte ses cuisses. Le rythme de sa respiration ne change pas.

– Alors là, me dit Patrick en se frottant le sexe à travers son pantalon, je dois dire qu’elle est vraiment bandante.

– Filmez là avec moi, cela vous fera un souvenir me suggère-t-il d’un ton sans réplique

– C’est ce que j’avais prévu lui dis-je et je me dirige vers une caméra et son trépied que j’ai installé pour l’occasion. j’appuie sur le déclencheur.

– Regardez, dit Patrick en ouvrant sa braguette et en regardant la caméra

Le porc sort son gros sexe . Il n’a pas menti, il est très excité et avec un sourire vicelard entreprend de se décalotter. Il a un gland énorme et déjà luisant. Il s’approche du lit et s’assied doucement sur le matelas à quelques centimètres de Bérengère. Il se branle doucement en approchant son visage du cul de ma femme

J’ai l’impression d’être dans un état second. Je bande comme un malade en regardant ce spectacle hallucinant.

– À votre avis Serge, je peux la tâter un peu?

– Aucune chance qu’elle se réveille, je répond faiblement.

Je vois avec fascination sa grosse paluche caresser une fesse puis l’autre, son index tourne autour de l’anus.

– Non, je chuchote, ne l’enfoncez pas!

Il a un ricanement discret

– ne vous inquiétez pas. Je ne vais pas lui mettre très loin.

Il se contente d’enfoncer son doigt très doucement gaziantep ukraynalı escort d’un centimètre. Bérengère ne réagit pas et respire doucement.

Patrick s’enhardit et après avoir humecté son doigt le passe maintenant sur son clitoris. Il s’excite le salaud, il s’excite et écarte ses fesses.

Au bout de quelques instants, Bérengère gémit légèrement.

Patrick s’interrompt, mais reprend quand il constate qu’elle n’ouvre pas les yeux.

– Placez-vous devant elle, m’ordonne-t-il doucement, et roulez lui un patin

Je me place devant Bérengère : qu’elle est excitante comme ça! j’entreprend de passer ma langue entre ses lèvres. Elle couine un peu dans son sommeil.

Je sens les mains de Patrick qui viennent empoigner solidement ses nichons et lui tripote les tétons.

J’adore les nibards de cette pute, dit-il d’un ton extatique. Ils sont hyper-fermes

Cette fois Bérengère ouvre un peu les yeux et me regarde d’un air comateux.

– Chéri, mais que fais-tu, soupire-t-elle.

– Je te baise, chérie, je te baise.. ferme les yeux.

Je passe ma main entre ses cuisses, sa chatte est très humide.

Oh, ma main vient de toucher la grosse bite de Patrick. Il s’est collé à elle: je le vois dans la psyché placée près du lit, son pénis est très proche de l’entrejambe de ma femme. Dans la glace, je le vois même passer son gland d’avant en arrière sur son con.

– Non, non, je lui chuchote d’un ton d’urgence!!!! faites pas ça, ce n’était pas prévu comme ça!

Il me regarde froidement,

– c’est un peu tôt pour les remords, un peu tard pour les regrets..

– Mettez au moins une capote je le supplie.

Bon, allez chercher dans ma veste m’ordonne-t-il

Je m’exécute et reviens. Ouf. Bérengère ondule du cul les yeux fermés mais Patrick ne s’est pas enfoncé. Il me fait un signe et je pose la capote sur son sexe.

Il se marre.

– Placez vous devant elle et remettez-vous à l’embrasser

J’embrasse Bérengère goulument en regardant du coin de l’œil Patrick qui approche sa queue.

Ma gaziantep ukraynalı escort bayan femme tend sa croupe involontairement, elle gémit un peu tandis qu’il introduit son sexe lentement.

– Oh tu es énorme aujourd’hui mon chéri, dit-elle de sa voix endormie. C’est bon.

– Ferme les yeux et laisse toi aller, je lui dis doucement

Patrick a accéléré le mouvement. Ma main glisse entre les cuisses de ma femme et je touche ses couilles bien pleines. Il est très excité.

J’ai un peu peur qu’il ne se mette à beugler de plaisir mais non, il lime ma femme en tenant fermement ses hanches , mais outre sa respiration on entend juste le clapotis du con trempé de Bérengère sous ses coups de pine.

Patrick se tourne vers moi.

– t’en a pour ton argent mon cochon, chuchote-t-il, Tu vois comme je la baise ton épouse. Demain quand tu iras à la messe, elle marchera peut-être un peu arquée, note bien!

Je ne relève pas le fait qu’il se mette à me tutoyer, trop occupé à me palucher. Je sens qu’il va tout lâcher et heureusement il reste silencieux jusqu’au bout.

– Aaaah, il a tout de même un petit soupir en sortant sa bite avant de lâcher de grosses giclées de sperme sur le postérieur de Bérengère. Elle est trop bonne cette pouffiasse. J’adore les bourgeoises cathos dans son genre. Il se lève pour s’éloigner du lit. Puis il revient et la contemple. Il me fait signe de m’approcher et me montre son sexe luisant qui n’a pas molli.

– Voyez, je viens de jouir et votre pute me fait de nouveau bander.

Il regarde sa montre.

-Bon, il est déjà tard, et on ne va pas tenter le diable. J’ai beaucoup aimé votre épouse, savez-vous? Demain vous viendrez chez moi à l’heure du déjeuner me projeter le film.

– Oui réponds-je avec fébrilité.

Je n’ai qu’une seule hâte, qu’il s’en aille pour que je puisse nettoyer toutes traces de son passage.

– Allez mon petit Serge, bonne nuit et il faudra recommencer.

Après son départ je nettoie et viens me coller à Bérengère, j’ai la bite dure et je m’enfonce à mon tour dans son petit con douillet. En quelques va et vient je jouis et m’endors.

Le lendemain au réveil Bérengère baille à se décrocher la mâchoire

– J’ai trop dormi, je suis ensuquée..

– Tu as fait des rêves je lui demande avec inquiétude?

– Oui, trop bizarre, j’ai même eu l’impression que tu me baisais mais en même temps c’étais pas toi.

– Oh cochonne, tu as aimé?

– Pff, je te dirais pas.

Bon, elle ne se souvient de rien.

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