Anecdoctes 04
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Dans cette série, je vous propose une diversité d’anecdotes. Chacune offre une immersion dans des situations et des atmosphères distinctes.
Mon objectif est de vous offrir une expérience, capturant différentes nuances de récits pour stimuler votre imagination et vous transporter à travers des scènes mémorables.
– Anecdote 10 : Drokpa au Tibet
– Anecdote 11 : Ombres et tendresse
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Anecdote 10 : Drokpa au Tibet
Sur les hauts plateaux du Tibet, en 1961, dans la région du Kham, la vallée isolée se trouve plongée dans un silence presque sacré. Seuls, Ming, Wang et Pong, trois soldats, perturbent cette tranquillité. Ils patrouillent, l’œil aux aguets, fusil en bandoulière, à la recherche de dissidents cachés. Malgré la saison estivale, un frisson parcourt l’air frais du matin.
Ming, grand et maigre, mène la marche avec une détermination glaciale. Son petit nez et sa petite bouche semblent presque disproportionnés sur son visage émacié. Wang, à ses côtés, contraste fortement : sa stature imposante et sa corpulence donnent l’impression qu’il pourrait affronter seul les éléments. Pong, quant à lui, ferme la marche. Sa petite taille et sa fine moustache lui donnent un air rusé, et son regard semble constamment calculer les situations. Les pas des soldats résonnent sur le sol rocheux, se mêlant aux bruits discrets du haut plateau himalayen. La tension est palpable, chaque ombre, chaque bruit, est scruté avec la plus grande attention.
Au fond de la vallée, l’attention des soldats est captée par un troupeau de yaks et de dri, paisiblement en train de paître. Parmi eux, une silhouette se détache : Dawa, une jeune drokpa, accompagnée de son chien de berger, Inu. Toute fine, avec son teint mat et son visage aux traits distincts, Dawa semble faire partie intégrante du paysage sauvage. Après quelques dizaines de minutes de marche, Ming, intrigué, s’approche d’elle, son allure longiligne se découpant contre l’horizon montagneux.
– Comment vous appelez-vous? demande-t-il, une pointe de curiosité dans la voix.
La petite jeune femme, bien que visiblement nerveuse, répond avec une fermeté surprenante :
– Je suis Dawa. Je n’ai vu personne d’autre ici.
Ses yeux très bridés rencontrent ceux de Ming, et dans ce regard, une détermination se lit clairement, contrastant avec sa petite stature. Inu, à ses côtés, reste attentif, ses oreilles dressées, comme pour saisir chaque nuance de la conversation, prêt à défendre sa maîtresse au moindre signe de danger.
À côté de la grotte où Dawa avait établi un petit campement, Wang, sans aucune gêne, s’installe près du feu. Il s’empare d’une tasse et se sert du thé, sa corpulence se répandant dans l’espace comme s’il était chez lui. Son comportement rustre et sa stature imposante détonnent dans le cadre naturel et paisible de la vallée. Pendant ce temps, Pong, sans se soucier de la présence de Dawa, se dirige vers un coin proche et commence à uriner. La jeune drokpa ne peut cacher son dégoût face à cette conduite ; son visage s’assombrit, et ses dents blanches se serrent. Inu grogne légèrement, les poils de son dos se hérissant.
À mesure que le crépuscule enveloppe la vallée, Ming déclare qu’ils passeront la nuit dans la grotte. Dawa, bien qu’inquiète, ne laisse pas sa résolution faiblir. Avec l’aide d’Inu, son fidèle chien de berger, elle se met à rassembler le troupeau, ses mouvements précis et rapides. Inu, comprenant la gravité de la situation, se montre particulièrement attentif aux instructions de Dawa, guidant les yaks et les dri avec une efficacité qui force le respect. La jeune drokpa, malgré sa petite taille et son apparence frêle, se révèle être d’une grande force intérieure, dirigeant le troupeau avec assurance.
L’air se rafraîchit, et les étoiles commencent à scintiller dans le ciel clair. Dawa, tout en s’affairant avec le troupeau, garde un œil vigilant sur les soldats. De retour à la grotte, les soldats ont installé un campement provisoire, où ils commencent à cuisiner leurs rations. L’odeur de la nourriture se mêle à l’air frais de la montagne. Pong, toujours enclin à provoquer, trouve un moyen cruel de taquiner Dawa. Avec un rire moqueur, il lance :
– Ataşehir travesti Ce chien ferait un excellent dîner!
Ces mots résonnent amèrement. Dawa, touchée au plus profond d’elle-même, les larmes montant aux yeux, serre Inu contre elle. Ming s’installe pour dormir, laissant transparaître une confiance née de son autorité. À l’entrée de la grotte, Wang se tient debout, imposant et silencieux, assumant le rôle de garde.
Dawa se sent de plus en plus mal à l’aise. Cherchant un semblant de réconfort et de sécurité, elle se réfugie au fond de la grotte, son corps menu se faisant le plus petit possible. Inu, fidèle et protecteur, se blottit contre elle, ses yeux brillants dans l’obscurité traduisent une vigilance constante. La jeune drokpa tente de se faire invisible, écrasée par la présence envahissante des trois hommes. Plus tard, Pong, avec un sourire sournois, s’approche de Dawa, saisissant fermement Inu, qui gémit doucement sous la pression.
– Tu es bien courageuse pour une fille seule. Tu ne voudrais pas de compagnie? dit-il, sa voix menace sous un vernis de fausse cordialité.
Dawa, terrifiée, se retrouve acculée, son dos contre la froide paroi de la grotte. Elle reste muette, ses yeux cherchant désespérément une échappatoire. Le gros Wang les rejoint, un rictus moqueur déformant son visage. Il se gausse de la peur visible de Dawa, trouvant un plaisir malsain dans son malaise. La jeune drokpa, encerclée par les deux soldats, sent son cœur battre à tout rompre. Les regards lourds de sous-entendus des soldats pèsent sur elle comme une chape de plomb. Pong sort de la grotte avec le chien et l’attache solidement à l’extérieur.
Dawa se lève et voit Pong qui arrive sur elle. Il la jette brutalement sur la paillasse. Le chinois se met sur la jeune tibétaine avec une jambe entre les siennes. Elle se débat mais Pong est plus fort. Elle n’arrive à pas sortir de ses bras. Il déchire sa chuba, une espèce de longue robe en laine épaisse. Les seins sont à l’air, elle commence à crier. Inu, à l’extérieur de la grotte également. Wang pose sa main sur sa bouche en lui disant que si elle crie, il l’étouffera. Le gros chinois retire sa main et elle recommence à crier. Il la gifle et lui ordonne de se taire en la menaçant. La jeune Dawa est effrayée et ne dit plus rien. Il retire le bas du chuba de la tibétaine et sort son sexe de son treillis. Il est large.
– Non! crie Dawa
Wang écarte les cuisses nues et pose son sexe à l’entrée de la petite chatte poilue. Le chinois commence à pousser. Il pousse pour faire rentrer sa queue, elle est énorme. Tandis que Pong maintient la bergère, lentement, elle sent la verge rentrer. Elle a envie de crier mais elle a peur. Il commence à faire de petits vas et vient en elle. Pong lui lèche les seins.
Ming, toujours allongé, se redresse. Il la regarde en souriant. Wang prend les jambes et les soulève pour les poser contre son torse. Et là, il commence à la pilonner de toutes ses forces. Le soldat rentre sa bite jusqu’au fond de la matrice.
Dawa a mal et ça la brûle. Elle lui demande d’arrêter. Mais Pong qui maltraite ses seins lui dit que les petites putes comme elle qui excitent les soldats méritent de s’en prendre plein la chatte. Wang fait son passage. Pong caresse les seins et tire sur les tétons.
Ming approche. Wang s’arrête, sa queue est au fond de la chatte et il commence à discuter avec son chef.
– Tu as commencé sans moi
– Oui je l’ai chauffé pour ton arrivée.
Wang la retourne et la met à genou le buste sur la paillasse. Sans attendre Pong fourre sa bite dans la bouche de Dawa qui manque de s’étouffer. Quant à Ming, il déboutonne son pantalon de treillis et se met derrière la bergère. A l’extérieur de la grotte, Inu aboie comme une bête enragé.
Dawa sent le chef des soldats rentrer sa queue dans sa chatte et Pong pénètre sa bouche. Wang maltraite les nichons qui pendent sous le corps de la tibétaine. Pendant que Ming la tient par les hanches et la baise très fort, Pong la tient par la tête et baise sa bouche. Terrorisée, Dawa n’arrive même plus à respirer. Le soldat sort de temps en temps sa queue pour la laisser respirer. Ils n’arrêtent pas un instant. La Ataşehir travestileri jeune femme n’arrive pas à se dégager de ses trois violeurs. Ils sont violents. Wang rentre sa queue au fond de sa gorge. Elle manque de vomir.
– On va l’initier à la gorge profonde notre petite pute, balance le gros soldat.
Pong envahit à nouveau la bouche. Ming se met à rire et dit à Wang de passer en-dessous de la pute.
– On va la prendra par tous les trous.
La jeune bergère essaie de nouveau de se débattre mais ils sont trop forts. Wang s’allonge sur la paillasse et pénètre le vagin déjà bien ouvert. Ming oblige Dawa à relever les hanches. La pauvre naïve ne comprend pas ce qu’ils préparent. Quand elle sent le gland turgescent du chef se poser entre ses fesses, un accès de terreur lui vrille le ventre.
Elle les supplie de ne pas faire ça. Mais la queue de Pong dans sa bouche l’empêche de se plaindre. Ming déclare que son cul n’a jamais connu de bite. Wang la tient par les bras. Elle sent la queue de Wang rentrer dans sa chatte et recommence ses va et vient violents. Ming, le chef, met son doigt sur l’anus et rentre sans aucune délicatesse un premier doigt dans le cul. C’est serré. Il bouge son doigt un peu et commence à rentrer un second.
Dawa se sent violée et humiliée. Des hommes, elle en a connue quelque uns mais jamais sa bouche et son derrière n’avait été visité. Quelle honte!
Le chef des soldats retire ses doigts et son gland appuie sur l’anus. Ming commence à rentrer son sexe en elle, c’est douloureux. La queue de Pong emplit la bouche pour l’empêcher de crier. Il rentre de plus en plus profond et ressort son sexe et recommence. Les cris sont étouffés par la bite. Et le chien à l’extérieur continue de hurler.
Ming continue ses va et vient de plus en plus profond dans le cul serré. Il la prend brutalement. Le pire pour Dawa, c’est d’entendre Ming et Wang grogner de plaisir en enfournant ses orifices. Ils ne parlent même plus, ils la baisent comme un animal. Ils rentrent et ressortent de ses trous sans plus aucune résistance. Elle est dilatée et offerte aux plaisirs de ces soldats. Le cauchemar : elle sent leur plaisir monter.
Ils se redressent tous les trois dans la grotte. Ils la mettent à genou devant eux. Elle n’est que pleurs et douleur. La bergère est épuisée et n’a qu’une envie : que ce calvaire se termine.
Le chef lui tire les cheveux et lui ordonne d’ouvrir la bouche. Il dirige sa queue et introduit son sexe dans sa bouche. Elle ferme les yeux pour ne plus voir les deux autres bites. Elle le laisse baiser sa bouche. Ming accélère, rentre encore plus profond, encore et encore. La jeune Dawa sent des spasmes. Ming sort sa queue et jouit sur le visage de la tibétaine pendant que Wang et Pong se masturbent. Elle en a partout sur le visage.
Pong, sans lui laisser reprendre son souffle approche sa queue et la rentre à nouveau au fond de sa gorge. Il fait de petits va et vient sans la sortir. Dawa a l’impression d’étouffer. Le plaisir de Pong arrive. Il sort de la bouche et comme son chef, il vient jouir sur le visage déjà souillé. Il termine sur la poitrine juvénile. Après avoir bien déversé son sperme, il ordonne de nettoyer sa queue. Dawa le lèche. Elle se sent sale.
Maintenant, c’est un jet de sperme de la queue de Wang qui jaillit sur les cheveux attachés de la tibétaine.
Ils se rhabillent tous en riant et la laisse là sur le sol de la grotte. Elle pleure. Le reste de la nuit. Chaque soldat revient la violer à tour de rôle.
Au petit matin, elle n’est plus qu’une bête. Quand les trois soldats sortent de la grotte pour repartir patrouiller, ils tuent Inu froidement. Dawa n’a plus la résistance pour se révolter.
Anecdote 11 : Ombres et Tendresse
DANS L’OBSCURITE NAISSANTE DE LA NUIT, je pousse doucement la porte de la chambre. Mes yeux s’adaptent à la pénombre. Le faible halo d’un réverbère extérieur se glisse à travers la fenêtre entrouverte, dévoilant en contre-jour la silhouette d’une jeune femme vue de dos. Les cheveux longs de ma fille s’éparpillent sur l’oreiller, captant les faibles lueurs argentées qui transpercent l’obscurité. Elle est allongée sur son lit, sur Travesti ataşehir le côté.
Je m’avance sans bruit, le plancher ne craquant qu’à peine sous mes pas. Chaque détail de la pièce se révèle progressivement : le bureau en désordre, témoin des longues heures d’étude, les livres de médecine et de chimie éparpillés, les papiers griffonnés. Mais mon attention est ailleurs. Alors que je continue à contourner lentement le lit à pas de loup, dans le coin le plus sombre du lit, une forme imposante se détache. Shita, notre grand chien à poil ras, est là, blotti contre elle. Je souris, soulagé de le trouver après ma recherche dans la maison. Les mouvements sont doux, presque imperceptibles dans la semi-obscurité. Ma fille, vêtue d’une simple chemise de nuit, repose sur le côté, une main posée tendrement sur le flanc du chien. Les contours se précisent à mesure que je contourne le lit.
Mon chien ferme les yeux sous les caresses de ma fille, sa tête reposant près de l’oreiller. Ce spectacle d’une douceur inattendue, dans le silence presque complet, est touchant. L’éclat de la lumière extérieure souligne la tranquillité du moment, éclairant partiellement leurs visages en un tableau vivant. Je ne perçois qu’imperceptiblement un léger mouvement. Est-ce une respiration?
J’arrive lentement, très lentement au pied du lit. Je ne peux que découvrir les jambes nues de ma fille dont l’une recouvre les pattes arrière de Shita qui ne semble pas bouger. Juste, je m’aperçois que sa langue pend et que sa respiration est haletante. Il y a quelque chose de bizarre!
J’avance encore. Mon dieu! Un creux se creuse dans mon ventre. Ma gorge se serre. Je commence à distinguer, là d’où je suis, la main de ma fille qui serre le sexe bandé de notre canidé. Les doigts sont autour de la tige canine. Le mouvement est extrêmement lent. Comme un flux paresseux de bas en haut, ma fille masturbe délicatement mon chien. La main droite est posée sur le flanc et caresse les poils ras. La main gauche, qui passe entre le corps du canidé et le matelas, oscille mollement de la base du sexe rouge jusqu’à son extrémité luisante.
Enfin, face à eux, je m’assois dans le fauteuil usé qui fait face au lit, juste dos à la fenêtre qui éclaire la scène. De là, je les observe, un père témoin du lien silencieux entre sa fille et son fidèle compagnon. Shita, en sentant ma présence, ouvre un œil. La langue pendante, il semble être dans un autre monde. Habituellement tempétueux, il est dans une sorte d’extase. Et moi, dans l’ombre de cette chambre d’étudiante, je m’abandonne à la contemplation de cette scène improbable. Mais, je n’ai pas envie d’intervenir.
Le rythme est très régulier. En haut. En bas. En haut. En bas. Je devine que les doigts se resserrent quand ils arrivent au sommet de la turgescence rouge et luisante. La lumière du réverbère extérieur révèle l’humidité du sexe qui brille pâlement. Mon corps imite le rythme de mon chien ; il se calme mais boue intérieurement. Je prends conscience qu’une érection distend mon bas de pyjama. Mais le reste de mon corps est détendu, calme, serein. Le regard fixe sur la main de ma fille, je me règle sur son rythme lent et ample.
Soudain, la main droite qui caressait le flanc de Shita migre vers l’organe génital. Avec une grâce qui me surprend au regard de la perversité de la scène, les deux mains s’accordent et montent et descendent en cœur le long de la tige qui s’est allongée. Imperceptiblement, le rythme s’est accéléré. J’en bande encore plus. Shita halète plus fort. Ses pattes arrière bougent et la jambe de ma fille remonte encore plus haut sur le flanc poilu. La cuisse blanche sur les poils noirs contraste dans la nuit. Un très léger gémissement de mon chien émerge de sa gueule. Les deux mains accélèrent et là, je vois la base du sexe gonflé en une grosse boule rouge. Un jet de sperme jailli et s’étale sur le drap du lit. Puis un second. Et comme ma fille continue de masturber le chien, un troisième jet éclabousse la couette.
J’ai la gorge étranglée. Je n’ose rien dire. Je n’ose rien faire. Juste une envie d’être branlé comme ça. Je me lève et repars lentement vers la porte en contournant le lit où je vois un bout de fesse blanche de ma fille. Alors que je passe la porte :
– Papa! murmure tendrement ma fille.
– Euh… Oui ma chérie.
– Je t’aime, papa, dit-elle sans même se retourner et je devine qu’elle continue de masturber le chien.
– Euh… moi aussi ma puce.
– Demain, comme tous les soirs, je dorloterai Shita.
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