Scénario du prisonnier

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Amateur

Scénario du prisonnier1. Scénario du prisonnier et du ravisseur Préparation. J’ai demandé à mon mari de nettoyer une petite pièce dans notre sous sol. Je lui ai tout fait enlever en lui expliquant que j’avais besoin de la pièce pour quelque chose de spécial. Quelques jours plus tard j’organisai avec lui une rencontre dans un endroit sombre d’un parking public. Je lui ai expliquai que c’était une surprise. L’enlèvement. Sa voiture se gara à côté de la mienne dans le coin le plus reculé du garage abandonné. Je portais un masque de cuir, mon chapeau de la gestapo, des lunettes noires, une gabardine. Je m’adressai à lui comme s’il était un étranger et lui demandai s’il pouvait m’aider à soulever un carton pour le retirer du siège arrière de la voiture. Tandis qu’il était penché, je l’ai poussé visage contre siège. Je me suis assise sur lui, le bloquant contre le siège et lui mettant une de mes paires de bas dans la bouche légèrement imbibés de produits anesthésiants . Je profitais des forces qui l’abandonnaient pour sortir une paire de menotte de ma poche et je le menottai dans le dos. Je lui plaçai un bandeau et l’informai qu’il était k**nappé. Je retournai à la maison et garai la voiture à l’arrière. Je lui dis de ne pas essayer de s’enfuir, ou il serait blessé. Je lui plaçai un collier et l’amenai en laisse à la cave malgré ses jambes flageolantes. Je le guidai jusqu’à la petite pièce qu’il avait nettoyée pour moi. Je le mis nu, coupant sa chemise avec une paire de ciseaux, et le poussai sur une chaise au milieu de la pièce. Je l’attachai solidement à la chaise et enlevai son bandeau. Ses mains étaient encore menottées. J’enlevai ensuite mon pardessus pour montrer que je ne portais dessous qu’un soutien-gorge en cuir, une slip lanière en cuir, une jarretière en cuir, et des bas. Je gardais bahis firmaları mon masque et mon chapeau. Je lui dis qu’il était mon prisonnier et que j’allais appeler sa femme pour qu’elle retire tout l’argent du compte en banque et le mettre dans un sac noir déposé dans une poubelle d’un parc. Sinon elle ne reverrait jamais son mari. Je fis le coup de téléphone imaginaire devant lui afin qu’il entende les détails. Je lui dis de déposer l’argent à minuit. Je dis ensuite mon prisonnier que je le pensais pas mal foutu et que j’allais le forcer à me donner du plaisir. Mais que j’allais d’abord le torturer car je n’aimais pas les hommes mais adorais les punir. Je mis mes chaussures à talons et posai mes pieds sur une caisse en bois en face de lui. Je le forçai à se pencher vers l’avant et à me lécher chaussures et pieds. Puis avec mes chaussures je lui écrasais doucement le pénis contre le siège. J’enfonçai même un peu son pénis et ses bourses avec mon pied, lui causant de la douleur. Puis je commençai à l’humilier verbalement et à le gifler. Je lui dis que si sa femme ne déposait pas le paquet, je le garderais comme esclave sexuel permanent. J’éteignis ensuite les lumières et remontai, le laissant assis seul dans le noir. Je le laissai ainsi environ une demi-heure puis revins. J’apportai ma cravache et mon fouet à neuf queues. Je le détachai du siège et le poussai contre le mur froid. J’accrochai ses menottes au plafond, puis lui donnai une série de coups de fouets très durs sur les fesses et les jambes. J’alternai fouet et cravache.je lui fis respirer à nouveau une petite dose de produit anesthésiant, mais pas trop pour qu’il reste éveillé. Je le détachai, lui enlevai les menottes et le poussai dos par terre sur le sol froid. J’écartai les jambes et le forçai à adorer mon corps. Je kaçak iddaa plaçai les différentes parties de mon corps sur son visage et je lui ordonnais de les lécher. Je collai ma poitrine sur son visage, puis ma chatte couverte du string en cuir, puis je m’assis sur son visage et l’étouffai avec mes fesses. J’enlevai le string et lui fis lécher mon cul et ma chatte. J’écartai les jambes sur son visage et lui donnai une douche d’or. Ensuite je lui ordonnai de nettoyer ma chatte avec sa langue. Puis je lui donnai un saut d’eau chaude et savonneuse, une éponge et lui ordonnai de se laver. Je lui remis les menottes. Je le tirai ensuite par la laisse hors de la pièce vers une grande table, au sous-sol. Je le fis allonger dessus a plat dos et le tirai par la laisse pour qu’il colle bien son visage sur mon sexe. Je lui ordonnai de me brouter longuement et eus plusieurs orgasmes. Je le fis se relever pour le faire se pencher a plat ventre sur la table. Je lui écartait les jambes pour que des menottes relient les pieds de la table à chaque cheville. Je lui menottait les poignets dans le dos puis finis par attacher sa laisse à un des pieds opposé afin qu’il ne puisse se redresser. J’avais une pleine vue sur ses fesses. Je décidais de le laisser à nouveau un demi-heure ainsi dans le noire.Quand je revins, je m’étais munie d’un gode double god-ceinture afin de prendre une part de plaisir en plus de le voir gémir. Je commençais par lui introduire un doigt pour lui certifier qu’il avait bien compris ce qui l’attendait. Ces déjà quelques premiers va et vient provoquèrent chez lui des râles qui m’amenèrent rapidement à passer sérieusement à l’action. Je présentais le pénis factice devant son derrière que j’introduisis doucement mais entièrement afin de prolonger ses gémissements. je reproduisais ce mouvement kaçak bahis plusieurs fois pour enfin accélérer le mouvement ( et surtout plus violement) et entendre ainsi le claquement lorsque nos corps rentraient en contact. Je ne sais si c’est la deuxième partie du god en moi ou sa respiration haletée qui provoquèrent chez moi un orgasme. Je ne pouvais de toute façon le laisser s’en sortir aussi rapidement et continuais sur le même rythme pendant un bon quart d’heure. La table, malgré des craquements permanents à chaque assaut, tint bon. je sortis tout doucement le god pour faire le tour de la table et lui présenter devant le visage et le forçais ainsi à me faire une “fellation” en prenant soin de le tenir par les cheveux pour qu’il ne puisse pas se retirer. lorsque j’estimais le god bien nettoyé, je me déharnachait pour lui faire sucer la partie du god qui était en moi. ensuite je repoussais son visage du bord de la table pour pouvoir m’assoir les jambes écartées et la chatte encore toute humide face à son visage. Il dut ainsi me lécher jusqu’à l’orgasme Je le rattachai ensuite à la chaise. Il était 2h30 et je lui dis que je devais aller chercher l’argent. Je montai et me changeai avant de quitter la maison pour une demi-heure. Je revins avec un sac noir et lui dis que sa femme avait obéi. Je lui donnai un long baiser passionné avant de le détacher. Je le conduisis par la laisse à l’arrière de la voiture et lui jetai ses vêtements, puis retournais au parking. Là je le gratifiai d’un dernier baiser avant d’enlever ses menottes et le poussai hors de ma voiture avant de démarrer. J’avais porté mon masque toute la soirée. Quand il revint à la maison, j’étais de nouveau sa femme. Je l’engueulai d’avoir été stupide au point de se faire enlever. Je lui dis qu’il m’appartenait désormais car je lui avais sauvé la vie. En retour il devrait être mon esclave personnel et il pouvait commencer de suite en me rendant hommage avec sa langue. Le pauvre chéri, être dominé par deux salopes dans la même soirée …

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